Jonathan Petitclerc
Carole-Ann Tremblay
Cégep de Lévis-Lauzon
Deux nouveaux pavillons et l'intégration de bornes historiques, implantées aux points culminants de la promenade et aux pôles, ajouteront une dimension culturelle aux fonctions éducatives et de loisir que l'on trouve présentement dans le parc du musée.
Descriptif
Pour le premier pavillon, on oppose une dualité entre les façades, celle avant réinterprétant l'architecture coloniale alors que son opposée est de facture plus contemporaine.
Pour le deuxième pavillon. un toit végétal permettra d'augmenter l'isolation, d'assainir l'air en absorbant le CO2. La toiture diminuera de 75 % le ruissellement des eaux de pluie au sol. La réutilisation des 25 % restants par les appareils sanitaires permettrait d'obtenir un bâtiment presque autosuffisant en eau. De plus, ses débords ont été spécialement dimensionnés afin d'empêcher la totalité des rayons du soleil d'y pénétrer au solstice d'été et l'expose à une pénétration maximale au solstice d'hiver. Ceci permet de réduire au maximum l'influence du soleil en période estivale et de maximiser les gains thermiques en période hivernale. Le système de plancher, surhaussé, est composé de tuiles de béton qui emmagasinent l'énergie solaire en hiver, permettant de le dégager naturellement par la suite. De plus, en ayant des conduits de chauffage entre la dalle et le plancher, on instaure un chauffage naturel de l'air par les rayons du soleil en hiver.
L'emploi d'un système de puits canadien permet la réduction des coûts de chauffage en hiver et l'instauration d'une climatisation naturelle en été. La ventilation naturelle du bâtiment, par effet de cheminée attribuable à la différence de niveau, permet un changement d'air efficace.
Planche(s)
Images supplémentaires
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