L’Université de Sherbrooke se distingue de nouveau au GreenMetric World University Ranking, en se classant au premier rang au Canada et se maintient dans le top 20 mondial – 18e rang – de l’édition 2016 de ce classement en développement durable.
En obtenant 6 906 points au classement global, l’Université de Sherbrooke se démarque par une excellente ou une très bonne performance dans toutes les catégories prises en compte. Elle se mesurait, soulignons-le, à 515 autres établissements universitaires répartis dans 74 pays.
À l’international, l’Université de Sherbrooke fait particulièrement belle figure sur le plan de la gestion des matières résiduelles en cumulant 1 800 points, soit le maximum possible pour cette catégorie. Cette performance se fonde sur l’adoption d’une série de mesures comme la gestion des déchets dangereux, le compostage intégral des matières organiques combiné à l’utilisation du compost pour les travaux horticoles ou l’installation de centre de gestion des matières résiduelles sur les campus, pour ne citer que ces exemples.
Échelle canadienne
À l’échelle canadienne, l’Université s’illustre également grâce à sa gestion de l’énergie et des changements climatiques, où elle occupe la première. Avec l’adoption d’un premier budget carbone par son conseil d’administration et des réductions de GES de 30 % depuis 1990 et de 34 % pour l’intensité énergétique, elle a su concrétiser ses engagements dans ce domaine et se fixe des cibles encore plus ambitieuses à court et à moyen termes.
L’institution sherbrookoise se classe aussi parmi les premières universités canadiennes pour la gestion du transport, la gestion des bâtiments et des terrains ainsi que l’enseignement et la recherche dans le domaine du développement durable.
Source : Université de Sherbrooke
